Et si nous avions besoin qu’on nous vende du rêve pour réussir ?

Tiens, en voilà une bonne question, pas vrai ? Et si nous avions besoin qu’on nous vende du rêve pour...

Tiens, en voilà une bonne question, pas vrai ? Et si nous avions besoin qu’on nous vende du rêve pour réussir ? Voici mon point de vue (et celui-ci n’engage que moi…) Un exemple concret : le mien Il y a quelques années, j’avais laissé mes rêves au placard. Les plus futiles comme les plus fous. Dévorés par les mites. Ma mère s’y était bien employée. Vous pouvez me croire… « Sois réaliste, Cédric ! », « Contente-toi de peu », « C’est comme ça la vie, et tant pis si elle te déplait ! », « Trouve-toi un petit boulot, n’importe lequel, même s’il est dur et que tu ne touches pas grand chose ! » Bref, comme beaucoup, j’avais accepté le triste fait que la réussite n’était pas pour moi. Qu’elle était destinée à ceux qui sont nés sous une meilleure étoile. Puis, j’ai croisé la route d’un vieil homme. Adoré par certains, détesté par d’autres. Savez-vous ce qu’il a fait ? Il m’a vendu du rêve. Et vous savez quoi ? Il a ranimé en moi la faculté de rêver. De transformer ces rêves en objectifs. Et de les atteindre (tout au moins pour quelques-uns…) Ce vieil homme se nommait Christian Godefroy. Alors, avons-nous besoin qu’on nous vende du rêve pour réussir ? J’en pense que chacun peut réaliser ses rêves, à la condition d’entretenir sa faculté de rêver. Mais que se passe-t-il si, tout comme moi à l’époque, on ne sait plus comment rêver ? Que se passe-t-il quand on a balancé tous ses rêves dans la benne à ordure ? Et qu’on les a laissé pourrir ? Et si un vendeur de rêve permettait de réactiver chez certains clients leur véritable faculté de rêver ? Et si cela leur permettait de renouer avec leurs rêves, leurs désirs, et de les réaliser ? Car vous le savez : tout ce que nous créons, tout ce que nous accomplissons, commence par un rêve… Alors, avons-nous besoin qu’on nous vende du rêve pour réussir ? Considérant ma propre expérience (et celle-ci n’engage que moi), je sais que si un vieil homme nommé Christian Godefroy ne m’avait pas « vendu du rêve », je serais certainement encore en train de ranger des DVD dans les rayons poussiéreux d’un vidéo club. Et de passer l’aspirateur… Pour un salaire de merde… Et vous ? Qu’en pensez-vous ? Faut-il vendre du rêve ? Le feriez-vous ? Votre avis est obligatoire…

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *